Une équipe solide et un conseil d’administration engagé à faire valoir le travail des organismes communautaires des Laurentides

Saint-Jérôme, 23 août 2022 – C’est avec détermination et créativité que l’équipe et le nouveau conseil d’administration du Regroupement des organismes communautaires des Laurentides (ROCL) entrevoit relever les défis de la prochaine année pour offrir un meilleur soutien aux organismes communautaires de la région.

Réunis en lac-à-l’épaule en juin dernier, ils ont ensemble élaboré un plan de travail étoffé répondant aux priorités adoptées en assemblée générale annuelle quelques semaines plus tôt où plus d’une centaine de membres étaient présents.

« Je dirais que la situation est critique pour les organismes d’action communautaire autonome du Québec et des Laurentides » affirme Benoit Larocque, coordonnateur du ROCL. « Deux ans après le début de la crise de la COVID, on dégage trois contraintes majeures qui mènent les organismes à ce qu’on pourrait appeler un point de rupture soient; un manque de financement récurrent, des équipes de travail réduites et un climat de travail marqué par une surcharge constante qui mène à l’épuisement » poursuit-il.

« Le plan de travail du ROCL est donc arrimé à cette réalité » affirme quant à elle Christine Richard, nouvellement élue présidente du regroupement. « Le gouvernement de François Legault a récemment annoncé en grandes pompes une refondation du système de santé. On est très vigilants dans le milieu communautaire face à cette annonce parce qu’on sait que les organismes sont souvent vus comme une extension du système de santé et qu’ils finissent trop souvent par essuyer les impacts des coupures et des mauvaises décisions politiques. Par ailleurs, on voit actuellement les impacts de la montée fulgurante des prix des dépenses essentielles qui se répercutent tant sur les organismes que sur la population qui les fréquente. Cela entraîne des défis de plus en plus nombreux pour soutenir les besoins » a poursuivi Mme Richard.

Le ROCL travaille dans une perspective de justice sociale et climatique depuis plus de trente ans et son ancrage fort dans la région lui vient de ses 163 organismes membres qui travaillent directement sur le terrain. Avec les élections provinciales qui auront lieu en octobre prochain, il est à souhaiter que tous les partis politiques s’engagent à financer adéquatement les organismes communautaires à leur mission pour leur permettre de soutenir les besoins croissants dans les communautés.

« Avec une équipe qui s’est agrandie au cours de la dernière année et avec des membres du conseil d’administration provenant de tout le territoire des Laurentides, le ROCL a des assises solides pour bien représenter les groupes auprès des instances politiques et continuer à faire valoir toute l’importance du travail qui se fait dans les organismes communautaires » conclu M. Larocque.

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Communiqué : Impacts de la pandémie sur les organismes communautaires des Laurentides : une priorité du ROCL pour la prochaine année

Réunis en lac à l’épaule le 22 et 23 juin dernier à l’auberge du Vieux Foyer à Val-David, le nouveau conseil d’administration du Regroupement des organismes communautaires des Laurentides (ROCL) et la permanence ont profité de ces retrouvailles animées pour discuter des orientations et déterminer les priorités de la prochaine année.

Fidèle à sa mission dédiée à soutenir les groupes d’action communautaire en défendant leur autonomie et en faisant connaître leur apport essentiel à la communauté, le ROCL a complété cette année la diffusion de 5 capsules vidéo informatives sur le milieu communautaire et l’action communautaire autonome. Disponibles sur youtube, ces capsules ont une visée large et sont disponibles gratuitement tant pour les groupes membres que les institutions d’enseignements et les partenaires.

Par ailleurs, avec le déconfinement récemment amorcé, le ROCL devra inévitablement se pencher sur les conséquences de la crise sanitaire dans les groupes communautaires et soutenir les membres, les coordinations et les conseils d’administration devant de nouvelles réalités sociales. Avec la culture de l’urgence qui s’est installée pour répondre à l’augmentation et à la variété des demandes, ajoutée au manque de reconnaissance chronique de l’expertise des travailleuses et travailleurs du communautaire, le ROCL a amorcé le tournage d’un web-documentaire co-réalisé avec Valmédia. Vortex pandémique laissera la parole aux personnes qui travaillent dans le milieu communautaire et qui sont des témoins privilégiés des nouvelles réalités et de la détresse sociale mises en lumière par la pandémie. Un lancement public de ce web-documentaire aura lieu à l’automne.

Devant les besoins criants d’une population qui se tourne plus que jamais vers les organismes communautaires pour répondre à leurs besoins, le ROCL s’affairera à son substantiel plan de travail 2021-2022, lequel prévoie d’ailleurs l’embauche d’une cinquième ressource à l’automne 2021 pour compléter l’équipe et mener à terme tous les projets.

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COMMUNIQUÉ : Des assemblées générales en zone rouge?

Saint-Jérôme, 1 octobre 2020 – Au moment où une grande partie de la région des Laurentides passe en zone rouge, le ROCL est préoccupé par le mot d’ordre reçu du gouvernement de tenir les assemblées générales annuelles cet automne. « Ces assemblées sont des rendez-vous entre les membres », indique Benoit Larocque, coordonnateur du ROCL. « Elles sont l’expression de la vie associative et démocratique des organismes communautaires. Elles servent aussi à adopter les rapports d’activités et financiers ainsi qu’à élire les membres du conseil d’administration. » Avec le confinement au printemps dernier, seulement un organisme sur cinq a tenu son AGA, selon un sondage effectué par le ROCL.

Bien que quelques groupes soient maintenant prêts à les réaliser, la plupart y voit d’importants défis tant dans l’organisation d’une assemblée en personne que dans l’idée d’une assemblée virtuelle. L’accès à des locaux sécuritaires, donc assez grands pour accueillir l’ensemble des membres à une assemblée, est très limité. Plusieurs organismes ne peuvent rejoindre l’ensemble de leurs membres de manière électronique. Tout le monde n’a pas accès à internet et à du matériel informatique, ni même à une connexion internet stable. Plusieurs membres des organismes vivent en situation de pauvreté et d’isolement. Dans ce contexte, comment rejoindre les membres qui vivent une fracture numérique ? Combien de personnes pourront réellement prendre part à notre AGA ? Le taux de participation sera-t-il satisfaisant ? Atteindrons-nous notre quorum ? Comment recruter de nouveaux membres pour notre conseil d’administration ? Pour certains groupes où la sécurité des membres est un enjeu, tel que pour les Maisons pour femmes victimes de violence conjugale ou les Centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS), il est tout simplement impossible de penser réaliser une assemblée virtuelle sans filet de sécurité alors que cet aspect est essentiel en tout temps. Des questions demeurent aussi quant à la distribution du matériel habituel : rapport d’activités, bulletin de vote, documentation de l’organisme, repas, etc. Comment se positionner et s’organiser par rapport à tout ça ? Voilà autant de préoccupations bien concrètes exprimées par des organismes de la région.

Ces questionnements s’ajoutent à d’autres bien présents, puisque les AGA ne constituent pas la seule et unique tâche qu’ont à accomplir les organismes communautaires cet automne ! La charge mentale reliée à la gestion du personnel à bout de souffle, à la mise en place des règles sanitaires, à la gestion des budgets fluctuants, à l’adaptation des activités et des services est bien présente. N’oublions pas que les organismes communautaires interviennent auprès de gens qui sont souvent en situation d’exclusion sociale. Les moyens pour rejoindre ces personnes ne se résument pas à une simple transition numérique et le contexte de pandémie actuel exacerbe sans nul doute les fragilités humaines. Les organismes communautaires voient les besoins de la population augmenter et tentent tant bien que mal de se réorganiser pour y répondre.

Pour Benoit Larocque, cette exigence vide les AGA du milieu communautaire de leur sens. « Ce qui est censé être un moment de vie associative et démocratique s’en trouve réduit à une formalité administrative et légale. Nous comprenons que les organismes ont des comptes à rendre. Nous avons proposé au gouvernement de faire adopter les documents requis exceptionnellement par les conseils d’administration cette année, ce qui aurait évité bien des casse-têtes pour les équipes de travail. La réponse a malheureusement été une fin de non-recevoir. »

« Quelle est la priorité du gouvernement ? » demande Stéphanie Gaussirand, présidente du ROCL. « D’un côté, on nous dit d’éviter les rassemblements mais de l’autre, on nous pousse à tenir des AGA. Maintenant que tout le sud de la région tombe en zone rouge, ces consignes contradictoires créent beaucoup de stress dans les organismes, qui, depuis le début, tentent de s’ajuster et viennent à peine de reprendre des activités en personne en se conformant aux exigences de la santé publique. Et il est faux de penser que les AGA virtuelles sont la solution miracle. Certains organismes n’y arriveront pas. »

Dans ce contexte, le ROCL demande au gouvernement de revenir à la décision du ministère de la Santé et des Services sociaux, du printemps dernier, qui stipulait que les organismes auraient à tenir leur AGA dans les 4 mois qui suivent la levée de l’urgence sanitaire. «Le gouvernement reconnaît que les organismes communautaires sont essentiels au bon fonctionnement de la société, et encore davantage en temps de crise, mais les exigences qu’il nous impose ne favorisent pas notre travail. Les priorités ne sont vraiment pas à la bonne place.» conclut madame Gaussirand.

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Bulletin aux membres – Septembre 2019

Une rentrée en nouveauté!

C’est avec enthousiasme et fébrilité que je reviens au travail cette année. J’assume désormais seul, les fonctions de coordination. Linda Déry est chargée de faire la mise à jour de notre portrait des organismes cet automne. Le contexte est idéal pour ce nouveau départ : l’équipe est solide, le conseil d’administration engagé. De plus, les échanges avec nos vis-à-vis du CISSS se font dans l’écoute et l’ouverture mutuelle au moment où 1,66 M$ arrivent dans la région. Que demander de plus pour un nouveau coordonnateur!
Bonne rentrée et à très bientôt!
Benoit Larocque

 

Bientôt sur votre territoire : mini tournée du ROCL

C’est avec plaisir que nous irons à votre rencontre dans les semaines qui viennent pour échanger avec vous des dossiers chauds de l’automne : le rehaussement du PSOC, la semaine nationale de l’action communautaire autonome ainsi que des rencontres avec les députéEs pour n’en nommer que quelques-uns.

Rappel des différentes rencontres :

19 septembre 10 h Saint-Eustache
23 septembre 13 h Lachute
24 septembre 9 h 30 Sainte-Agathe-des-Monts
26 septembre 13 h Mont-Laurier
8 octobre 13 h Saint-Jérôme
2 octobre à confirmer Pays-d’en-Haut
Date à confirmer à confirmer Thérèse De-Blainville

 

Grève planétaire du 27 septembre

Le 27 septembre, partout au Québec et dans le monde, citoyennes et citoyens, travail-leuses et travailleurs, étudian-tes et étudiants, syndicats, groupes communautaires et toutes les personnes ayant à coeur la planète envahiront l’espace public afin de revendi-quer des actions politiques cohérentes avec l’urgence que la situation climatique exige.

Le ROCL invite ses membres et la population à se mobiliser pour ce mouvement mondial de « La planète en grève » en se joignant au grand rassemblement de Montréal qui aura lieu à midi au monument George-Étienne Cartier sur le Mont-Royal.
Visionnez la capsule vidéo faite à cet effet

À Saint-Jérôme, à l’initiative du Syndicat des professeur.es du Cégep de Saint-Jérôme, en collaboration avec le Cégep de Saint-Jérôme, le Syndicat des employé.es de soutien et le Syndicat des professionnel.es, la journée sera consacrée Journée institutionnelle pour le climat.
Vous pouvez voir l’organisation de la journée ici.

Des activités seront simultanément organisées à Mont-Laurier et à Mont-Tremblant.

Finalement, le ROCL a émis un communiqué de presse pour inviter la population et ses membres au rassemblement et pour expliquer pourquoi les organismes communautaires se sentent interpellés par les enjeux climatiques.
Consultez le communiqué ici.

 

Formation Écobureau

Le 11 septembre dernier, la permanence du ROCL ainsi que deux membres du conseil d’administration ont reçu la formation Écobureau offert par le Réseau des femmes en environnement. Cette formation permettait d’identifier les bons coups et les améliorations quotidiennes à apporter au bureau afin de vivre en cohérence avec nos valeurs environnementales. Cette rencontre a donné lieu à des discussions intéressantes et a confirmé la volonté du ROCL d’élaborer une politique environnementale pour mettre en lumière ses engagements pour des pratiques écologiques. Un plan d’action sera aussi élaboré et les membres seront éventuellement invités à s’engager dans cette voie.

 

Base d’unité du ROCL

Au début de l’année 2019, l’équipe du ROCL, en collaboration avec les membres du comité vie associative, avaient décidé d’actualiser la base d’unité du ROCL afin de la rendre plus vivante et attrayante.

Après des mois de travail et de réflexions, la version finale est maintenant disponible en version papier et elle le sera sur notre site Web sous peu.

Pour le moment, vous pouvez la consulter ici.

La base d’unité se veut un document de référence qui présente la nature et les valeurs du mouvement communautaire, le tout agrémenté de pages photo-roman pour aider à comprendre les concepts. Chaque membre recevra une copie imprimée, mais n’hésitez pas à demander d’autres exemplaires si vous souhaitez en distribuer aux partenaires ou aux éluEs pour faire connaître et rayonner les particularités du mouvement communautaire autonome.

 

Réforme du mode de scrutin – Rappelons au gouvernement ses engagements

Il y a un an, le ROCL organisait son pique-nique politique en pleine campagne électorale provinciale. François David et Jean-Sébastien Dufresne du Mouvement pour une démocra-tie nouvelle étaient alors venus nous entretenir de ce projet pour lequel QS, le PQ et la CAQ s’étaient engagés. Maintenant au pouvoir, la volonté du gouvernement Legault de réformer la loi électorale s’est transformée en effort pour noyer le poisson dans l’eau.  Si nous ne voulons pas laisser échapper l’opportunité que nous avons d’améliorer la représentativité de notre démocratie, il faut mobiliser un vaste appui populaire en faveur de la réforme électorale.

Rappelons le contexte. La réforme électorale est envisagée au Québec depuis plus de 40 ans et il semble, aujourd’hui, que nous touchions au but. Monsieur Legault s’est engagé en campagne électorale à déposer un projet de loi sur la réforme du mode de scrutin avant le 1er octobre prochain, puis à l’adopter pour qu’il entre en vigueur dès la prochaine élection provinciale de 2022. Les personnes présentes à notre pique-nique politique l’an dernier s’en souviendront, Benoit Charette qui représentait alors la CAQ avait même dit qu’il mettrait son siège en jeu pour la réalisation de ce projet qui lui tenait tant à coeur.

Pourtant, ces derniers mois, des critiques ont émané de plusieurs députés, notamment au sein du caucus de la CAQ, à l’égard de cette réforme électorale. Cette valse-hésitation du gouvernement fait craindre au Mouvement Démocratie Nouvelle qu’une fois de plus le projet avorte et que François Legault fasse machine arrière et trahisse sa promesse électorale. Le gouvernement essaie de jouer avec la date de mise en vigueur de la réforme (2022 ou 2026) et surtout d’introduire de nouvelles étapes de validation (référendum) pour faire avorter le projet.

C’est pour cette raison que le ROCL a signé la Coalition pour la réforme électorale maintenant! et que nous vous invitons aussi à le faire.

Plus nous serons nombreux et diversifiés en tant qu’organisations à nous afficher publiquement en faveur de la réforme, moins les opposants au projet pourront dire que cette réforme n’intéresse personne pour justifier le statu quo.

Grâce à la Coalition, le message que nous souhaitons lancer est clair : la société civile se mobilise largement pour dire au gouvernement de tenir bon et de rester ferme sur ses engagements afin de mettre l’intérêt commun des Québécoises et des Québécois au premier plan. Nous considérons que le gouvernement détient toute la légitimité nécessaire pour aller de l’avant et adopter le mode de scrutin mixte compensatoire pour les élections de 2022.

Cliquez ici pour aller vers la page de la Coalition qui énonce les principes et invite au ralliement.

Vous trouverez ici la couverture médiatique de la conférence de presse de lancement de la Coalition qui s’est tenue à la Maison du développement durable le 6 septembre dernier.

 

Élections fédérales : un outil d’éducation populaire

Fidèle à ses habitudes, le Mouvement d’éducation populaire et d’action communautaire du Québec (MEPACQ) vient de réaliser un guide pour les élections fédérales 2019.

Ce guide s’adresse aux organismes qui se consacrent à l’éducation populaire. Il présente brièvement le fonctionnement de la politique canadienne, les principaux partis politiques et les enjeux électoraux. Pour plusieurs des sujets traités, vous trouverez des activités d’éducation populaire dans le Guide d’animation qui accompagne cet outil.

 

Rehaussement de 1,66 M$ au PSOC

Un comité statutaire ROCL/CISSS a été mis sur pied l’hiver dernier. Des rencontres régulières ont eu lieu depuis et sont prévues dans les mois qui viennent pour, entre autres, faire la mise à jour du Cadre de référence pour l’application régionale du PSOC. Un autre sujet nous occupe toutefois davantage actuellement : la répartition des 1,66 M$ arrivés dans la région, en financement à la mission. Tout comme l’an dernier, les scénarios de répartition privilégiés par les régions doivent être acheminés au MSSS au plus tard pour le 31 octobre. Initialement, la Ministre voulait cela pour la fin du mois d’août. Le milieu communautaire ainsi que plusieurs équipes PSOC dans toutes les provinces ont fait des représentations auprès du ministère pour que cette échéance soit reportée. Ce délai permet de faire un bien meilleur travail et d’éviter de précipiter les choses. Le CISSS doit faire l’analyse des redditions de comptes reçues pour chacun des organismes financés au PSOC et ainsi déterminer son éligibilité en fonction de différents critères (ministériels et régionaux).

Comme dans les dernières années, le ROCL porte la préoccupation que ce rehaussement puisse bénéficier à une majorité d’organismes dans un esprit d’équité, conformément à l’outil négocié qu’est notre cadre PSOC. Les travaux se déroulent actuellement dans un esprit d’écoute et d’ouverture mutuelle.
Une première rencontre du comité statutaire a eu lieu le 12 septembre dernier. Cela a permis au ROCL et au CISSS de s’entendre sur certains principes. Comme par les années passées, l’argent sera réparti en tenant compte de l’écart entre le financement reçu et le budget de base requis reconnu pour chacun des organismes. Les organismes éligibles recevront cette année un pourcentage de cet écart. Ce pourcentage sera établi lors d’une prochaine rencontre en octobre, moment où nous connaîtrons avec plus de précision le nombre d’organismes éligibles. Tous les organismes seront ultérieurement avisés par le CISSS, qu’ils reçoivent ou non du rehaussement.
Un schéma traçant le portrait de la situation vous sera remis et expliqué lors des rencontres de mini tournée.

Vous pouvez toutefois le consulter ici si vous le souhaitez.

 

Programme de formations

Nos premières activités de formations de l’année débuteront dans les prochaines semaines et plusieurs groupes sont déjà complets. L’intérêt manifesté pour les différents thèmes proposés nous réjouit et nous confirme encore une fois l’importance et le besoin de ces journées de formation pour nos membres.

Pour consulter la programmation ou pour vous inscrire en ligne, rendez-vous sur notre site internet sous l’onglet Formations et n’hésitez pas à nous contacter pour vérifier les places disponibles.

Nous vous rappelons que cette année, les formations se dérouleront à l’Hôtel du Mont-Gabriel à Sainte-Adèle, sauf indication contraire.

Bon automne!